Informations canalisées : coronavirus

Voici quelques informations canalisées ce 16 mars 2020 à propos de la crise du coronavirus, à méditer et partager à l’envi !

 

Un enseignement principal : l’humilité.

Le virus vient nous rappeler que nous, les humains, sommes un organisme vivant (et non un ensemble de 8 milliards d’organismes individualisés) dépendant d’un autre organisme vivant bien plus grand et important que nous : la Terre. Face aux dégâts majeurs et, pour certains, irréversibles, que l’espèce humaine a causés à la Terre, il est apparu nécessaire de nous rappeler que nous sommes dépendants d’elle et de ses ressources. Il nous appartient donc de la respecter, de la préserver et de la remercier pour ce qu’elle nous offre. C’est la condition indispensable pour pouvoir continuer à bénéficier de ces ressources, offertes avec amour.

 

Arrêter de scier la branche sur laquelle nous sommes assis.

La crise actuelle est là pour créer un choc des consciences, et, au cas où cela serait insuffisant, nous contraindre à stopper nos comportements destructeurs (surconsommation, altération profonde des équilibres climatiques, déforestation, destruction de la biodiversité, culture de l’individualisme…). D’ailleurs, que se passe-t-il en ce moment ? Réduction massive des transports, arrêt de certaines consommations, diminution de la pollution, retour à l’essentiel. Autrement dit, le coronavirus a fait exploser en plein vol le système mondialisé de consommation dénuée de conscience.

 

Et maintenant ?

La suite nous appartient. Au-delà de la gestion de la crise sanitaire et de son cortège de souffrances, la question est de savoir si nous repartirons, tant bien que mal, sur le même modèle, ou si nous saurons entendre le message et changer fondamentalement notre mode de vie. Si c’est le cas, nous pourrons très certainement apprendre à nous épanouir en harmonie avec notre environnement. Mais si nous recommençons « comme avant », il y a fort à parier que l’Univers saura nous rappeler à l’ordre, soit en donnant plus de vigueur à ce virus, soit en en créant un autre, soit en trouvant d’autres moyens d’expression (catastrophes climatiques, conflits…). Et tout cela se fera de manière juste, efficace et sans rancœur à l’égard des humains. Comme un jardinier qui pulvérise un insecticide pour préserver ou sauver son jardin d’une colonie de parasites…

Alors, à nous de jouer. En premier lieu en acceptant le message qui nous est envoyé. Seule l’élévation de notre conscience globale nous permettra de transformer cette crise en un avenir meilleur et durable.

 

Merci au virus.

Merci aux âmes qui ont choisi ou choisiront de contribuer à ce message, en partant ou en expérimentant la maladie.

Merci à vous de contribuer à l’élévation de la conscience humaine.

Merci à la Vie.

 

Marc Tentillier.